Les cygnes m’ont fait l’honneur et le plaisir d’effectuer devant moi un vol de traversée de la pièce d’eau. C’est toujours du même endroit que tous ces oiseaux décollent. Ceux-là comme tous les autres qui sont passés par là. On croirait qu’une piste d’envol est dessinée sur l’eau. Et quand on a l’habitude, à la façon dont ils se mettent en place à cet endroit-là, on sait qu’ils vont s’envoler et on prépare son appareil photo. Parfois ils prennent la piste dans l’autre sens. Question de direction du vent peut-être.
dimanche 30 mars 2008
Du côté du Breuil 2
Les cygnes m’ont fait l’honneur et le plaisir d’effectuer devant moi un vol de traversée de la pièce d’eau. C’est toujours du même endroit que tous ces oiseaux décollent. Ceux-là comme tous les autres qui sont passés par là. On croirait qu’une piste d’envol est dessinée sur l’eau. Et quand on a l’habitude, à la façon dont ils se mettent en place à cet endroit-là, on sait qu’ils vont s’envoler et on prépare son appareil photo. Parfois ils prennent la piste dans l’autre sens. Question de direction du vent peut-être.
vendredi 28 mars 2008
Du côté du Breuil - n° 1
En cette soirée du 27 mars 2008, la découverte qu'on y fait est celle d’une cane se promenant avec un seul caneton âgé de quelques jours. La couvée devait être comme d’habitude beaucoup plus importante (autour d’une dizaine sans doute) mais on n’a jamais vu aussi peu de survivants.
Il y aussi le couple de canards blancs venus d’ailleurs chassés, évadés ou délivrés de chez des confrères des époux Tweedy. Ceux-là sont très familiers avec les humains porteurs ou non de restes de baguette Tradition. Il s’agit sans aucun doute d’un vrai couple.
Et il y a aussi et toujours notre vieille connaissance : la cane blanche qui a résisté à toutes les épreuves et qui est toujours suivie d’un colvert qui lui semble tout dévoué. Pourtant ils sont on ne peut plus dissemblables. Ainsi, lui vole, elle pas et c’est très amusant de les voir passer de la rivière au plan d’eau, elle à pied et lui à tire d’aile. Alors qu’elle est deux fois plus grosse que lui leurs ébats amoureux posent aussi quelques problèmes techniques qui les prolongent bien au delà de la normale.
Vraisemblablement en transit vers les pays de l’Europe du nord, et comme l’année dernière, un fuligule morillon a fait il y a dix jours, une pose de deux ou trois jours au Breuil.
Fuligule morillon mars 2007 © Sylvain Hébuterne
Un couple de grèbes huppés a fait également une apparition et l’ami Pierre Esteffe a réussi à photographier le 12 décembre 2007 un renard dans le petit bois environnant.
© Pierre Esteffe
La vidéo qui suit a été réalisée le 15 mars. On y retrouve les personnages dont il est question ici.
Ceux qui ne connaissent pas le Breuil en auront une bonne idée en se rendant ici >>>>>
mercredi 26 mars 2008
La première Dame de France à Villemoisson
C’est elle qui, en 1837 est passée par Villemoisson lors d’une tournée des écoles de l’arrondissement de Corbeil.
Monsieur Guérin, l’instituteur de Villemoisson, raconte l’événement dans sa monographie datée de 1899 en traitant surtout de son aspect financier.
Visite de l’Ecole de Villemoisson par SAR. Mme la Duchesse d’Orléans
Le Comité décide qu’il sera écrit une lettre de remerciement à M. le Sous-Préfet et que les 60f dont il s’agit seront en partie distribués aux jeunes filles de l’école et le surplus employé en acquisition de livres pour les enfants pauvres.
A cette époque la petite école, première école communale de Villemoisson, était encore dans l’état d’origine, celui du petit bâtiment construit en 1832 à l’initiative du maire, Monsieur Maurey. Depuis il a été plusieurs fois modifié, agrandi pour devenir école-mairie, puis transformé en poste d’incendie pour devenir aujourd’hui débarras. C’est vraisemblablement dans la partie située à gauche de la photographie que la Princesse a rencontré les enfants en 1837.
la première école-mairie-pompe à incendie de Villemoisson en mars 2008
Comme on le voit, le plus ancien bâtiment civil de la ville part en ruine. En revanche, l’escalier qui le borde (à droite de la photo ci-dessus a été muni d’une belle rampe en alu dont les fonds de culottes des écoliers entretiennent le brillant. Le circuit touristique établi récemment par la Communauté d’agglomération le présente d’autre part comme un élément remarquable de la ville.
l’escalier vu d’en bas
A la vue de son image on a évidemment du mal à imaginer les raisons d’une telle promotion. Mais cela est une autre histoire que l’on peut lire à l’adresse suivante :
http://pagesperso-orange.fr/saint-sevin/sente.htm
dimanche 23 mars 2008
Pourquoi Ushuaia-sur-Orge ?
Ce blog vient à l'appui d'un site perso internet qui traite déjà depuis plusieurs années de ces mêmes sujets et qui est à l'adresse suivante :
http://pagesperso-orange.fr/saint-sevin